Dans le monde moderne, il est important d’être réactif et bien préparé à affronter sa journée. C’est une tâche beaucoup plus facile lorsque l’on est entouré de collègues disposant de différentes expériences et connaissances. Vous avez peut-être déjà lu ces deux textes écrits par mes collègues et publiés précédemment sur notre blog : « Différentes nationalités : notre atout commun » et « Le petit déjeuner en commun : une nourriture pour l’esprit». Ils donnent l’impression que nous sommes un vrai « melting pot » d’individus en provenance de différents pays et différents départements. C’est tout à fait correct. Tous les rôles et départements de Garantell se trouvent sous le même toit, de la production à la vente, du développement à la peinture.
Grâce à cette philosophie de Garantell visant à tout réunir sous un même toit, nous pouvons répondre rapidement aux questions de nos clients. Nous nous aidons mutuellement entre les départements et on trouve toujours de l’aide et une réponse rapide. Un bon exemple est la situation qui s’est produite ce printemps, lorsque de nombreux pays se sont retrouvés confinés et que nous, les commerciaux, recevions moins de demandes. Mais les marchandises commandées devaient toujours être produites et livrées. Quelques commerciaux se sont alors rendus au département production pour apporter leur aide, optimiser le temps et consacrer leur énergie au plus important objectif : assurer aux clients la livraison dans les délais des marchandises qu’ils attendent. En outre, ceci nous a permis d’améliorer nos connaissances sur la production et l’emballage, ce qui, à terme, profite aux clients.
Au quotidien également, nous allons volontiers d’un département à l’autre pour améliorer nos connaissances. C’est très sympa de rencontrer les développeurs de produits au département R&D pour découvrir leurs nouvelles idées ou le personnel de l’entrepôt lorsqu’il a battu un nouveau record du nombre de palettes emballées. Mais c’est aussi très pratique de se trouver à proximité de tous les autres départements.
Pour nos clients, par exemple, il est très avantageux que les commerciaux aient un contact continu avec le département R&D et puissent décrire les besoins et l’évolution des marchés. Ceci nous permet de toujours garder une étape d’avance et ainsi de simplifier la vie quotidienne des clients.
Pour une entreprise, les processus peuvent parfois freiner les choses. Il peut y avoir de nombreuses étapes intermédiaires dans la communication, où les informations doivent être transmises d’une personne à l’autre, chacune devant attendre une réponse, avant que le problème soit finalement résolu.
Chez Garantell, notre objectif est de toujours répondre sous quatre heures, un service qui est très apprécié. Bien que nous ne soyons pas à proximité des clients, nos voies de communication rapides nous permettent, dans la plupart des cas, de répondre rapidement.
Mes chers clients se trouvent à en 2000 kilomètres, en Espagne et au Portugal. L’un des inconvénients est que je ne peux pas les rencontrer aussi souvent que je le souhaiterais mais, grâce à la technologie, il suffit d’appuyer sur un bouton pour se parler. Un simple appel téléphonique me donne l’impression d’être en Espagne en train de manger des tapas.
Il est très intéressant de travailler dans une entreprise qui se développe à un tel rythme. Il est très motivant de faire partie d’une entreprise qui a toujours des idées pour promouvoir le développement, des individus comme de l’entreprise elle-même. Notre nouvelle filiale Smartlack – qui se trouve bien évidemment elle aussi sous le même toit – en est un parfait exemple. Cette société a été créée en réponse à une grande demande de la part de nos clients, qui souhaitaient obtenir plus rapidement des produits à revêtement en poudre.
Quelle sera la situation dans 5 ans ? Nous avons de nombreux projets et idées et il est donc impossible d’en dire plus aujourd’hui. L’usine aura-t-elle de nouvelles machines ? Notre toit sera-t-il recouvert de panneaux solaires ?
Il y a beaucoup d’incertitudes, mais une chose est sûre : Garantell ne cessera jamais de chercher des moyens de simplifier le quotidien de ses clients et collaborateurs.
La lumière a toujours occupé une place particulière en Suède. Même au plus sombre de l'hiver, quand je me promène dans les rues des villes, il y a de la lumière à toutes les fenêtres, de la lumière provenant de bougies, de lampes et des guirlandes de Noël éclairant les bâtiments couverts de neige. Je réalise alors combien la lumière du soleil et les longues nuits d'été manquent aux gens. Le manque de lumière culmine en Suède aux alentours du jour le plus court de l'année, le 13 décembre, appelé « Luciadagen ».
Dans une entreprise où la croissance est une préoccupation majeure, on peut facilement se retrouver dans des situations où l'on maintient à peine la tête hors de l'eau. Connaissez-vous ce sentiment ? L'accent est mis sur les machines et la productivité. Le bien-être des employés, l'environnement de travail et la propreté sont oubliés. Nous essayons de changer cela ! Nous croyons que tout est lié. L'ordre, la qualité et le bien-être des employés vont de pair avec la satisfaction des clients. Comment réussir à tout concilier ? En œuvrant sur plusieurs plans, mais cette fois-ci, j'ai pensé vous parler des changements que nous avons apportés aux locaux et à l'environnement de travail ainsi que du groupe qui a travaillé sur ce sujet. Voici quelques conseils pour rendre le lieu de travail plus agréable, basés sur notre expérience. N'hésitez pas à vous en inspirer !
Vous vous rappelez du moment où l’horloge a sonné les douze coups de minuit et où vous avez pris toutes vos résolutions pour cette nouvelle année ? Manger plus sain, bouger davantage ? Cela remonte à plus de sept mois à présent. Où en êtes-vous ? Des études montrent que moins de 50 % des gens sont capables de tenir leurs promesses pendant quelques mois. Mais ne voyez pas cela comme un échec : il n’est jamais trop tard pour prendre une nouvelle habitude. Mon conseil est de ne pas faire de promesse, mais plutôt de se fixer des objectifs. Et puis vous pouvez définir des objectifs intermédiaires, qui sont gratifiants. Si vous n’atteignez pas l’un de vos objectifs intermédiaires, eh bien ce n’est pas une catastrophe. Vous aurez une nouvelle chance d’accomplir l’objectif intermédiaire suivant. On se sent bien mieux ainsi que lorsque l’on ne tient pas une promesse.
Vous êtes-vous déjà demandé comment travailler dans une équipe auto-gérée? Est-ce un rêve? Ou êtes-vous plutôt sceptique? Chez Garantell, nous essayons de travailler de cette façon. En toute honnêteté, c'est un chemin parsemé d ’embûches . Cela ne peut sembler pas très commode, mais nous évoluons chaque jour. Avec vous, je veux partager quelques leçons apprises. Fixer des objectifs communs, grandir ensemble en maintenant un environnement de travail agréable, voilà ce qui nous laisse avancer sur cette voie.
Tout est allé tellement vite. Ce n’est pas facile à réaliser, mais il y a comme un air de printemps dans notre froid pays. Nous sommes passés de -18 à +8 °C en une semaine. C’est donc peu dire que nous n’avons pas eu le temps de nous habituer. La neige s’est mise à fondre à toute allure et nous avons troqué nos patins à glace et skis contre des vélos et bateaux.
La digitalisation est importante pour Garantell. De nos clients qui dessinent en ligne sur Garantellator (plateaux fils, cloisons anti-chutes ou protections machine) jusqu’à la production, tout est automatisé. Mais la digitalisation n'est qu'un outil. Nos équipes auto-managées sont au cœur de notre entreprise. Notre président Mikael Axelsson explique comment ces deux vont de paire. Cette fois-ci il n'a pas écrit de blog, mais nous avons fait un vlog. Regardez-le ici:
Tout a commencé en 2015 lorsque j’ai quitté mon pays bien-aimé, l’Irak, et suis arrivé en Suède. J’ai dû abandonner ma vie, ma famille, ma carrière et mon avenir. Tout. Pour repartir à zéro. Durant l’été 2018, je suis entré dans le monde du travail suédois. C’est Garantell qui m’a ouvert les portes. Je me souviens très bien du jour où j’ai traversé à vélo la forêt dense, pleine d’odeurs agréables, pour me rendre au 8 de la rue Speditörvägen. Je savais une chose : Que ce jour était le début d’un nouveau chapitre de ma vie suédoise. Je me sentais plus que prêt et plein de gratitude et de curiosité. J’avais de grands espoirs et une énorme motivation.
Le temps est l’une des rares choses dans la vie qui sont bien réparties. Personne ne peut se plaindre que le quota n’est pas juste. Cependant, nous pouvons utiliser ou gaspiller de différentes manières les 24 heures dont nous disposons tous chaque jour. Mais seul ce que nous accomplissons persiste dans le temps.
Cette année, de nombreuses traditions ont dû être annulées. En raison de la propagation du coronavirus, le nombre de personnes autorisées à se rassembler au même endroit a été limité, et les festivités ont changé de forme. La possibilité d’organiser de nombreux types de fêtes de la manière habituelle a été impactée, à la fois les mariages ou les funérailles ou d’autres types de fêtes. Les funérailles en ligne sont devenues courantes en Suède, tandis que les grandes fêtes telles que midsommar, la fête des écrevisses ou les anniversaires ont été célébrées au sein de la famille immédiate au lieu de comme d’habitude avec la famille et les amis. Nous sommes maintenant confrontés à la plus grande fête dans une grande partie de l’Europe, Noël. Il sera différent aussi pour nombreux d’entre nous cette année, étant donné que les parents plus âgés ne sont pas en mesure de participer à la célébration de la même manière que d’habitude.
L’hiver s’approche maintenant, et ici à Småland, nous pouvons regarder en arrière les soirées magiques du mois d’août, quand le soleil se couchait vers neuf heures et demie du soir. S’asseoir devant un lac sombre et brillant comme un miroir et regarder le soleil se coucher derrière la cime des arbres est quelque chose de magique. Pour ceux qui croient aux monstres marins, il va sans dire que les soirées du mois d’août avec ses ombres et son coucher de soleil sont le moment idéal pour les monstres marins.
Prendre soin du personnel est quelque chose d’évident pour de nombreuses entreprises en Suède et cela se fait de différentes manières. Non seulement en servant le petit-déjeuner par exemple, mais aussi en offrant aux employés une somme d’argent pour pouvoir signer un contrat avec une salle de gym ou se faire le plaisir d’un massage du dos. Nous consacrons également volontiers notre pause déjeuner à nous entraîner ensemble. Un petit tour de jogging ou une séance de Tabata avant de manger, pourquoi pas. Cela paraît bizarre ? Peut-être. Cependant, pour nous ce n’est pas seulement un entraînement, mais aussi un moyen de passer du temps avec nos collègues. Tout comme les afterwork du vendredi peuvent être un moyen pour améliorer la cohésion du groupe de travail.
Nous, l’entreprise comme les collaborateurs, sommes confrontés à un monde où les évolutions techniques sont de plus en plus rapides, avec un flux d’informations en accélération. Nous devons constamment développer, modifier et améliorer nos marchandises et nos services. L’idéal est de proposer des solutions innovantes, dont nos clients ne savaient pas qu’ils avaient besoin.
Dans mon enfance dans la campagne polonaise, j’étais une vendeuse aguerrie dans le kiosque de bonbons de mon école. Bien sûr, je dévorais une partie des bénéfices, mais c’est juste un détail croustillant... Aujourd’hui je travaille dans un tout autre secteur, les produits grillagés métalliques, et c’est une expérience éducative. Mais il m’arrive de me sentir à nouveau comme la petite vendeuse de bonbons car l’une de mes tâches préférées au travail est de me rendre à l’usine. Je ressens alors une excitation qui rappelle celle des voyages scolaires ou pour utiliser une meilleure comparaison : je me sens comme un personnage de Charlie et la Chocolaterie, le merveilleux livre de Roald Dahl. Il y a tant à voir et je découvre à chaque fois quelque chose de nouveau. Je souhaite donc aujourd’hui vous emmener dans un voyage vers cette destination magique, mon endroit préféré, où sont créés nos panneaux grillagés.
Lorsque je me rends en vélo à Garantell le matin, je traverse un paysage typique du Småland (pour en savoir plus sur la région du Småland, feuilletez un livre d’Astrid Lindgren, notre héroïne nationale, créatrice de Fifi Brindacier). Astrid décrit le paysage du Småland tel qu’il est encore aujourd’hui : forêts, prés peuplés de vaches, petites maisons rouges aux coins blancs et chants des oiseaux. On aperçoit souvent un renard ou un chevreuil et un bruissement intensif dans la forêt indique sans aucun doute un élan ou un sanglier. Je passe également à côté du lac de Vidöstern, où il m’arrive de voir des habitants du coin en train de profiter d’une baignade nue matinale. Pour les Suédois, la baignade matinale est tout à fait naturelle mais mes collègues m’ont expliqué que c’est une tradition bien suédoise. Comment cela se passe-t-il ? Après avoir sauté du lit, on court jusqu’au lac, revêtu d’un peignoir si l’on a des voisins ou nu dans le cas contraire. Les lacs du Småland sont calmes et sombres et se baigner à l’aube est une expérience fantastique que je souhaite à tous de pouvoir vivre un jour.
Combien de dangers existe-t-il sur un lieu de travail et une sécurité totale est-elle vraiment possible ? Suffit-il d’apposer du ruban d’avertissement sur les chariots, faut-il tracer des lignes spécifiques au sol pour guider les chariots ou doit-on allumer des feux de toit pour plus de sécurité ?
Originaire d’une grande ville belge, j’ai dû apprendre de nouvelles habitudes et routines professionnelles lorsque j’ai commencé mon travail chez Garantell. Des habitudes suédoises – certaines plus étranges que d’autres. L’une d’entre elles est que tous les collaborateurs de Garantell prennent le petit-déjeuner ensemble. Chaque jour, à 9 heures pile, des tartines, des œufs durs et du yaourt nous attendent, accompagnés de l’arôme du café fraîchement moulu. Ce dernier détail peut sembler insignifiant mais le café est une chose sérieuse ici. Les suédois sont connus pour leur consommation de café. En tant que gastronome, j’apprécie bien sûr de manger au travail mais le plus important lors du petit-déjeuner d’entreprise n’est pas la nourriture, mais plutôt la conversation.